dimanche 25 juillet 2010

Quel bastrin ue...

Et puis file la vague.

Comme un après-midi d'été à finir quelque chose d'important, et sourire parce que bon sang, oui, ça a de la gueule, comme des projets au long cours qu'on clôture les uns après les autres, toujours cette logique de laisser la place propre... Terrible vide du soir quand cela s'arrête, quand les pages sont placées, listées, modulées, et simplement tournées. Emotions heureuses et tristes, on n'est jamais si proche de la mort... Création d'un rien, d'un virtuel inexistant, intangible. Je colorie des pixels, et j'aime ça. Futiles couleurs assemblées, support à, tribute to, c'est au pixel qu'on reconnaît l'abeille.



Il est temps de couper le seigle.

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