Et voilà...
Paf boum.
Le réveil de printemps...
Ca devait arriver ...
Bin...
...ça arrive...
Dans ma ruche, trois lutins féroces. Autour de nous, des femmes-fleurs,des hommes-loups, des ours, un lapin... Mais surtout, des vies qui se construisent, jour après jour, parfois dans la joie et l'indécence crasse d'un bonheur dégoulinant... Parfois dans le doute, l'écorchure ou la peur... Témoignage forcément subjectif d'une réalité prismée. Il n'y a pas de réponse. Que des questions.
samedi 27 novembre 2010
Délicatement cardiaque
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mardi 23 novembre 2010
Ouvrir la porte
Jour doux. Jours doux, je devrais dire... Dans la grande outre vide, je mets de l'eau claire, de l'eau forte et de l'eau de vie... Je mélange et c'est le feu d'artifice... Retrouver les amis, saluer ceux qui partent, et sourire. Sourire à Joe Dassin, qui n'avait rien compris... Et rêver tout bas.
Ah ouais... La vie est trop chère, je n'y arrive plus. Je cherche un ou une coloc... Qui puisse survivre dans un monde comme celui-ci.
Ah ouais... La vie est trop chère, je n'y arrive plus. Je cherche un ou une coloc... Qui puisse survivre dans un monde comme celui-ci.
dimanche 14 novembre 2010
Canada Dry
Quitte à réinventer le monde, je veux qu'il me plaise.
Je m'y veux libre d'être polymorphe et atomique,
je m'y veux libre de rêver mes 45 films par jour,
je m'y veux libre d'être rouge et verte, et même à petits pois arc-en-ciel,
je m'y veux libre de dire que les absents ont toujours torts, et surtout qu'ils manquent,
je m'y veux libre de me réveiller à 5h59 avec un appétit de vivre démesuré,
je m'y veux libre.
Sans réel pour m'enfermer. Sans règles pour jouer.
Je m'y veux libre d'être polymorphe et atomique,
je m'y veux libre de rêver mes 45 films par jour,
je m'y veux libre d'être rouge et verte, et même à petits pois arc-en-ciel,
je m'y veux libre de dire que les absents ont toujours torts, et surtout qu'ils manquent,
je m'y veux libre de me réveiller à 5h59 avec un appétit de vivre démesuré,
je m'y veux libre.
Sans réel pour m'enfermer. Sans règles pour jouer.
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mercredi 3 novembre 2010
Dans l'entre-deux.
Entre. Je suis posée entre. Ni dans , ni hors. Ni pour ni contre, non plus. Juste entre.
Je regarde, à gauche, à droite.
J'avance. Je recule. J'avance encore, tend la joue mais détourne le regard.
Je ne suis pas là.
J'ouvre les oreilles, je ferme les portes.
J'ai avancé.
Je partage mes pensées, j'ai même laissé voir mon coeur.
L'écho est proche mais silencieux.
Je suis si loin.
J'ai dit ce que je pensais, mais rien de ce que je ressens.
Comme une porte blindée criblée d'impacts.
Je ne suis plus derrière la porte.
Où es-tu, toi ? As-tu regardé vers les étoiles ?
Je regarde, à gauche, à droite.
J'avance. Je recule. J'avance encore, tend la joue mais détourne le regard.
Je ne suis pas là.
J'ouvre les oreilles, je ferme les portes.
J'ai avancé.
Je partage mes pensées, j'ai même laissé voir mon coeur.
L'écho est proche mais silencieux.
Je suis si loin.
J'ai dit ce que je pensais, mais rien de ce que je ressens.
Comme une porte blindée criblée d'impacts.
Je ne suis plus derrière la porte.
Où es-tu, toi ? As-tu regardé vers les étoiles ?
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