lundi 20 décembre 2010

Phoque ze snow

Normalement, on ne râle pas sur le temps.
Normalement, on ne généralise pas à tout vent contre les petites contrariétés de la vie.
Normalement, on accepte les défections comme des aléas.
Normalement, on ne croit pas à la malédiction.
Normalement, on dit "C'est la vie..."



MAIS BON SANG, J'EN AI MARRE ! 2010 EST L'ANNEE DES RENDEZ-VOUS MANQUES, DES ANNULATIONS EN TOUS GENRES, DES DEFECTIONS, DES DEMISSIONS, DES PROJETS QUI AVORTENT ET DES GENS QUI NE SONT PAS A LA HAUTEUR DE LEURS PROMESSES. ALORS SI EN PLUS DAME NATURE S'EN MÊLE, MOI JE DIS :

SSSSSSSSTTTTOOOOOOOOOOOOPPPPPPPPPP !



Bon ok, là, j'suis déçue parce que je me faisais une joie du concert du 23 décembre, ça mettait du soleil dans une saison que je vis mal. Et bien sûr, c'est la décision la plus sage. Renoncer.


Mais  regardons en arrière... Puisque c'est la saison...
J'en ai marre des trucs qu'on annule à cause de la neige - hein Tom ... - . J'en ai ras le bol des rendez-vous qui tombent, des trains en retard qui compliquent tout,  des gens qui se désistent, de ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent ou n'assument pas leurs failles, des patrons pas nets qui mentent pour cacher leurs incompétences, etc... RAS LE BOL des pas fiables, de ceux qui disent qu'ils font et ne font pas, qui disent qu'ils pensent et ne pensent pas, qui disent qu'ils sont  mais ne sont pas...

Bon, je vais jurer un peu dans mon coin, et ça passera... ou pas. Je vais regarder ce qui va bien, attendre que cette foutue année de transition se termine, et arroser les jolies graines semées ces derniers temps. Je vais désinvestir encore, comme de plus en plus souvent, redéfinir les priorités, les précieux, les envies, les besoins, et avancer, un pas.
Puis encore un.
Puis encore un.
Puis encore un.
Puis encore un.
Puis encore un.
Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un. Puis encore un.

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