dimanche 5 septembre 2010

Tête de mule ?

Tout est beaucoup plus simple. Il suffisait de se dire
......................
J'arrête d'hésiter.
Je prends la décision d'aller au bout de ce que j'ai à vivre.
C'est la route qui me plaît.
Peu importe la destination finale,
j'ai pris ce chemin-là et je le suis, quoi qu'il arrive.
Ou pas.
....................
Depuis, tout va mieux. Pour moi. Dans ma tête. De moi à moi. Faudrait juste encore un peu de...


COURAGE

(Parce que ça rend fragile, d'accepter la faillibilité. De se dire que oui, peut-être que je me trompe, mais ce sera avec brio. Et peut-être que j'ai raison, et ce sera tout aussi fantastique. Et peut-être même que je pourrais arrêter tout de suite de me poser 367 questions à la minute, parce que je n'ai peut-être qu'une ou deux réponses. Mais ces réponses-là me portent, alors je continue. Paf, on a franchi la barre des 1000 questions. Pour un dimanche matin, c'est un excès ingérable. Comment est-il possible que mes cheveux n'aient pas encore pris feu au vu des étincelles qu'il y a à l'intérieur ? Et surtout, est-ce que tout cela est bien nécessaire ? Ne vaudrait-il pas mieux vivre dans une tour d'ivoire, sans étincelles et sans larmes ? Euh non, celle-là, elle est vraiment superflue. Si ça c'est pas du luxe : se poser des questions superflues. Ca craint, vraiment. Il serait temps que je vide ma tête...)

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