vendredi 7 mai 2010

Boum badaboum badaboum hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Wouha. J'en ai pris plein les oreilles ce soir. C'était bon, c'était fort comme un expresso, c'était partagé avec mini-moi 1, 2 et 3. C'était bonheur. Comment expliqué les vagues dans les oreilles, les mots qui bang, les rythmes qui déboussolent. Comment comprendre que la musique suscite ce truc totalement irrationnel entre l'oreille et le plexus, avec des prolongements incontrôlables dans les pieds, les mains, les cheveux. Mes ancêtres chamanes disent que c'est la vie qui passe dans les veines, quand tu sens la musique au creux du ventre, comme nous. Je crois que c'est vrai. Y'a un truc magique entre le nombril et le sein, ça m'enlève le surmoi, ça frétille du dedans, c'est à peine si je peux empêcher mes bras de boum et mes pieds de brrrrrrrr. C'est ainsi, certains ont le talent de vous envoyer l'émotion pan dans la gueule, sans en jouer, sans forcer, sans se la péter. Et j'en connais trois qui, quand ils partagent la note, m'éclatent, dans le sens le plus positif du terme.


Mais non, je n'ai pas d'ancêtres chamanes.





Ca change kékchose ?

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